Sur le blog d’ALAN, interview du 15 novembre 2021:

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Au même titre que Doctolib, Voodoo, Veepee, ManoMano ou Blablacar, ALAN fait partie du club très fermé des licornes françaises valorisées à plus d’un milliard d’euros. C’est une start-up d’assurance santé ayant levé 185 millions d’euros en avril 2021, ce qui lui permet d’envisager une croissance à l’international plus importante, notamment en Espagne et Belgique. ALAN se caractérise également par des pratiques de management très différentes voire révolutionnaires: non à la réunionnite, non aux managers à l’ancienne, oui à la transparence des salaires… C’est ce que son PDG appelle la « culture de responsabilité distribuée », où chaque “Alaner” est propriétaire de l’entreprise (via des BSPCE ou les Bons de Souscription de Parts de Créateur d’Entreprise qui sont une catégorie particulière de “stock options” (options sur titres).). Plus d’informations sur ALAN par ce lien

Stéphanie Carpentier : “À chaque fois qu’une entreprise s’empare d’un sujet tabou, il devient fédérateur”

Sondage 2021 Harris Interactive pour Alan: 64% des françaises actives de 40 à 62 ans sont concernées par la ménopause au travail.  Parmi elles, 51% déclarent des effets négatifs au travail et 10% d’entre elles admettent même être freinées dans leur ambition professionnelle par cette réalité.

“Alan : En quoi la ménopause peut-elle relever de la santé au travail ?

Stéphanie Carpentier : Les femmes ménopausées ou en pré ménopause peuvent souffrir de fatigue, de troubles du sommeil, mais aussi de palpitations, de frissons dus à des tensions ou crampes musculaires, des symptômes typiques aussi du burn out ou du moins d’un très grand stress. Il est donc bien question de santé au travail et de souffrance au travail. D’autant qu’en plus de ces symptômes parfois très handicapants, ces femmes cumulent d’autres difficultés.
“Les femmes craignent que leur malaise passe pour une faiblesse.”.”
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