Une étude menée fin 2017 par un cabinet international de recrutement spécialisé auprès de 500 directeurs généraux et administratifs financiers révèle que 76 % des sondés admettent avoir embauché un collaborateur qui ne s’intégrait pas à l’équipe. Les principales raisons évoquées relèvent majoritairement des « soft skills » défaillantes, ce qui renvoie à un défaut d’intelligence émotionnelle. L’objet de ce billet va donc s’intéresser à cette compétence si recherchée et l’aborder sous l’axe du leadership émotionnel et en voir les incidences au niveau de la performance et de la qualité de vie au travail.