Elles sont à la mode. Mais méfions-nous des tendances ; « être dans le vent, une ambition de feuille morte » écrit Gustave Thibon, une idée largement reprise par les thèses du conformisme. Car ce qui fait une tendance c’est justement sa fin annoncée. Et il serait dommage que les « soft skills » ne perdurent pas comme critères susceptibles de distinguer un profil professionnel d’un autre. Mais si l’on adhère à cette idée, alors deux paradoxes émergent qui devraient nous faire réfléchir.
Source : Terminologie et enseignement : le double paradoxe des « soft skills »